"Et tu as pénétré ton visage - lumière
Au fond d'un rêve dingue
Où je te regardais danser une dernière fois Heureux mais fatigué Pour une famille de singes Qui attendait ta mort
Comme on attend l' incroyable
C'est sûrque t'étais beau dans ta robe de chambre
Au milieu de tes remèdes
Malade, oui, peut-être
Mais tellement vivant jusqu'à la dernière goutte
De sentimentalisme
De caresses noueuses
"Allez , viens ici, monfils "
C'est la nuit qui te porte , c'est la nuit qui t'emmène
Quand tout se fait image
Dans ces nuits de paumage
Tu entrouvres la porte, on entre et tu nous serres Bouée de sauvetage Ultime sémaphore
Rescapé dans un monde perdu
Tu viens tout doucement dans mon égratignure
Et tu la sèches bien
Souriant aux éclats
Dans ta mort vivante , tu retraces ma vie
Quand je me blottissais
A la sieste-dorlote
Et que tu m'appelais "Allez, viens, Rhiinne"
C'est sûr que t'es pas mort et que tu te balades
La nuit, dans notre tête
Tu arpentes le sable
De nos consciences molles et tu deviens prophète
Pour chacun d' entre nous
Tu apportes la joie
Et cette envie de te rassembler
C'est sûr, si tu avais eu tous les enfants du monde
S'ils t'avaient eu comme père
T'aurais trouvé le moyen
De les aimer chacun, chacun pareillement
Tu étais de la race
Qui n'a plus de racine
Rescapé dans un monde perdu
"Allez, Rhiinne..."
plus beau ne se peut pas...il est 2h00 du mat'je disparus hier sous les médocs-oubli en début d'après-midi;je prends l'air frais sur mon mini-jardin;première cigarette;et j'écoute la video...puis encore...touchée en plein coeur...ces mots-là;voila;ces mots-la...tu m'as offerts ces mots.merci infiniment.cécile.
Bénin a toujours su appuyer là où ça fait du bien et... du mal aussi peut-être parfois, mais comme les deux versants se mélangent souvent... Ses mots son fragiles, denses et à la fin de l'envoi...ils font mouche. Comme ferré et quelques autres ils me bercent depuis la fin de mon adolescence (si jamais elle s'est vraiment terminée...) De ma nuit de veille je vous salue madame et je suis ravi que ces mots là vous aient plu! :-)
plus beau ne se peut pas...il est 2h00 du mat'je disparus hier sous
RépondreSupprimerles médocs-oubli en début d'après-midi;je prends l'air frais sur mon mini-jardin;première cigarette;et j'écoute la video...puis encore...touchée en plein coeur...ces mots-là;voila;ces mots-la...tu m'as offerts ces mots.merci infiniment.cécile.
Bénin a toujours su appuyer là où ça fait du bien et... du mal aussi peut-être parfois, mais comme les deux versants se mélangent souvent...
RépondreSupprimerSes mots son fragiles, denses et à la fin de l'envoi...ils font mouche. Comme ferré et quelques autres ils me bercent depuis la fin de mon adolescence (si jamais elle s'est vraiment terminée...)
De ma nuit de veille je vous salue madame et je suis ravi que ces mots là vous aient plu!
:-)