Les cousins raffolent de la lumière jusqu'à s'y griller les ailes.
Ce ne sont pas les seuls d'ailleurs, et l'on pourrait dire qu'à la demi lune c'est la presque fête des voisins
des tout ce qui vole et...
y'a du monde...
irrémédiablement attiré par le qui brille dans la nuit estivale avant son heure.
Mais... moi aussi d'abord, je me retrouve sous la lampe à attendre l'aube qui approche soudainement à l'est dans des baskets roses.
5h30- le merle noir qui s'endort comme les poules se réveille comme un coq et sa ritournelle dans les impossibles aigus me rappelle une voix féminine du sud de l'Italie.
Tu sais,
celle qui s'enroule dans les trilles, qui t'emporte dans sa farandole au petit jour pour faire un gros câlin à la vie quand tu ne sais pas encore ce qu'elle attend de toi. sinon peut-être, de laisser quelques cauchemars à la consigne.
JE SUIS LA, MERLE ROSE...
RépondreSupprimeril a pas bien sleeper ? peuchére ....
ou alors c'est une métaphore aviaire ?
métaphore aviaire ouah! mais où donc allez-vous chercher des expressions pareilles mon cher Sergeounet?
RépondreSupprimerah ptêt finalement chez le merle rose!
;-)
c'est vrai que le merle, ça a le matin guilleret...le sommeil léger et la trille facile...jolie chanson !
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