LA 6° PHOTO

Voilà c'est une commande, enfin non une demande, que dis-je une proposition et elle  me vient de "Pomme" de: Almanachronique (des villes et des champs) qui elle même la tenait de ...Enfin vous connaissez cette façon de faire plutôt gentille et ludique, et passe à ton voisin...

Cette fois la question est - attention j'ouvre l'enveloppe. Allez, soyez pas stressés, vous allez voir, ça va bien se passer- donc la question du jour-notez s'il vous plait, je ne répèterais pas: 

"Quelle était la 6em photo de votre blog?"

Bon et bien je crois qu'il ne reste plus qu'à descendre au 3em sous-sol pour aller faire un tour aux archives...  

Certes,vous en conviendrez comme moi,  c'est un peu poussiéreux, j'espère que personne ne fait d'allergies. Attention à la tête, aux toiles d'araignées et aux fantômes...-Ne trainez pas sinon vous allez vous perdre. Suivez ma lampe nous y sommes presque.

Voyons 9-8-

2007

C'est bien ça.

janvier, février, mars...

1-2-3-4-5-6-

Ah oui la voilà:

Jeudi 29 mars 2007:

Bon, c'est sur...c'est  pas avec que je vais gagner un concours photo- c'était les débuts...Ceci dit je ne sais pas si pour autant aujourd'hui je me suis vraiment amélioré mais entre-nous, je m'en fiche un peu. J'aime bien me promener avec un ptit appareil -pas cher-  qui fait presque tout, tout seul- je n'ai aucune prétention artistique, je clique comme ça me chante et puis... l'idée c'est  de rajouter avec, un peu d'écriture, celle des autres ou la mienne, enfin quoi, mettre des mots sur une photo, ou dessous plutôt!

Et des fois faut pas forcément chercher le rapport entre les deux, ou alors ptêt au 18em degré et encore...

Par exemple, ce jeudi là, voilà ce qui accompagnait ce paysage pas vraiment chaleureux mais sans doutes et localement  de saison...

"Comme on gagne sa plume, on la couche sur le papier d'une virginité à prendre, les traces d'encre sont un message délivré à l'inconnu, preuve s'il en est, d'un acte pour exhibitionniste et voyeur, couples infernaux, boulimiques du dire,du lire; une enfilade de mots, encore et encore, colères noires et rouges qui n'en finissent plus de bouillir et qui surgissent un beau jour fatalement; geyser salvateur, vomissure conséquente à une indigestion de vivre.
Le besoin d'écrire, comme une fonction obligée, comme si on pouvait, comme si on devait, compléter le biologique avec ses options, fruits de sa -malgré tout -différence, celle qui fait autant que des yeux ou des marques corporelles, l'individu et son unique cité.
alors j'écris pour me taire."

Et pour la peine je la ramène encore...

-Dans la règle du "JE"  il est suggéré ensuite de demander à dix autres personnes de faire le même cheminement,  et c'est là  que... je vais légèrement tricher -Scusez c'est dans ma nature, j'ai un peu peur de déranger ( ou de me prendre une veste) Aussi,  je préfère lancer l'idée en l'air et camarade blogeuse, blogeur et ainsi soit-il  qui  me lisez si vous voulez rattraper, et bien à votre convenance, et si c'est le cas  vous pouvez également laisser un ptit mot pour prévenir, curieux de nature,  j'irais voir par chez vous...

Merci de votre attention

et bonne soirée.