Ecrire pour se cacher,
Ecrire en dévoilé,
Ecrire de l'apparence, en demi-teinte, à contre-jour...
et laisser s'échapper ce qu'on ne pourrait pas dire avec une lettre qui turbine, l'accent relationnel et la phrase qui s'occupe.
Ecrire comme on se noie dans un vert d'eau et le gris des soupirs qui s'échoue sur la page.
Ecrire sans raisonnable, avec tous ses possibles qui font que chacun -Haie- et passe sur l'autre rive.
Ecrire n'importe comment et sans demander son reste ni la permission de quitter la table des convenances, au risque de finir bien seul... à se dire.
Ecrire pour se faire du mâle une autre idée peut-être?
Et
de son théâtre à plume, jouer la pièce rapportée.
Ecrire comme sport de chambre, terrain d'illusions et éphémère insaisissable, bulle de savon...
Ecrire jusqu'à deux mains, pouvoir aller plus vite quand le flot submerge son urgence inutile mais toujours indispensable à notre déraison.
Ecrire sans retenue... peut-être un jour... quand je n'aurais plus peur des vagues. Alors, dans l'immensité liquide je lâcherai mes encres.
Les plumes de service sont à la toile ici et là?
Au moins, tu ne seiche pas ! :))
RépondreSupprimerc'est mon côté "morgate de moi..."
RépondreSupprimer;-)