Au risque de nous faire devenir chèvre (Oh l'humour qu'il est lourd-voix off off impénétrable-) mais ce qu'on savait déjà hélas et qui se vérifie de splendide manière ces jours-ci, c'est que , lorsque l'on passe l'arme à gauche (ou a droite) à moins d'être complètement inconnu ou politiquement et correctement détesté, on a droit ensuite à un concert de louanges que les choeurs castrés (c'est fini) de la chapelle sixtine ne renieraient pas, tellement c'est beau, uni, sincère et aussi coulant qu'un chèvre rôti au miel en aumônière de lard fumé - Vi! rien que ça!
En effet depuis quelques dizaines d'heures, radios, télés, presse écrite, nationale, régionale, locale voir communale ou vicinale et aussi naturellement les nuages de fumée dans le beau ciel d'Epinal , traquent à qui mieux mieux (j'adore cette expression on dirait un gazouillis de moineaux au printemps) tous ceux qui ont connu le grand -et si sympathique- Philippe- Et à dire vrai c'est pas compliqué d'en trouver puisque comme sur fesses book, ce grand et débonnaire gaillard -d'avant- n'avait! oh quelle chance à lui: que des amis- et chacun pour soi, du plus illustre sous les dorures au plus humble sur le skaï (is blue) de raconter l'anecdote très personnelle (mais entre nous) et qui va bien, avec un léger trémolo comme il sied (à la base) dans ce genre d'occasion -à ne surtout pas rater-n'est-il pas?
Tiens, par exemple, moi même personnellement je ne l'ai pas côtoyé (quoique en cherchant bien...) , mais...lalalère, je connais quelqu'un qui s'est fait rafler sa merguez (en tout bien tout honneur bien entendu) par le parachuté vosgien lors d'une grillade- party du côté de Charmes ce qui n'en manque pas bien entendu (de merguez?- n.d.c. préférant l'andouillette) et je ne saurais que trop lui conseiller de contacter le plus rapidement possible (-s'il n'est pas déjà trop tard, l'info. est cruelle et tellement volage Ah! Hu!) les services rédactionnels et locaux d'un grand (forcément) quotidien régional, dont -par pudeur- nous tairons le nom, afin qu'il puisse raconter à ses lecteurs avides d'Anettes doctes-sa ptite histoire sentant tellement bon le terroir de la vraie france profonde du TF1 de 13h (tu parles, pfff, des merguez -voix off tendancieuse) et je suis sur que le laborieux pigiste de service mais professionnel sous les ongles fera immédiatement le lien (trop fort) entre la merguez et la jeunesse tunisienne de l'ex argentier qui jouait dans la cour des comptes.D'ailleurs notons (amélie) que le conductator-dictator de la si sympathique démocratie méditerranéenne où vont (c'est tellement exotique et pas cher) gambader nos alertes retraités a exprimé "sa profonde tristesse" (aussi profonde que les geôles de son charmant pays?) après le décès de- je shite toujours: d' "un ami personnel".
Roger. Dis! t'as pas vu les kleenex?
Fermez le ban.
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