dans la boite aux lettres:
Keneiled ker,
"Vous trouverez ci-joint un petit article paru ce jour, 25 janvier, dans Ouest-France. Mais attention, seulement en Loire-Atlantique, car Ouest-France n'estime pas que soient intéressés par cette ségrégation et ce qu'il s'y passe, les 71,5% de Bretons autres, ceux de la "région" dite "Bretagne administrative" ("B4"), les seuls qui ont le droit, dans les lignes de ce journal, à l'appellation "Bretons".
Cette "anecdote" n'est qu'un petit aperçu de la persécution incessante et du délit de sale gueule que certains jeunes "repérés" qui osent défendre leur bretonnité dans le département méridional breton peuvent subir, au point qu'ils ne peuvent même plus siroter tranquillement un pot en terrasse d'un bistrot s'ils ont laissé leurs papiers à la maison... Vu mon grand âge, j'avais évidemment déjà vu ça, mais jusqu'ici, seulement avec des arabes, autre engeance pour notre douce France !
Soyez avec nous, ce 1er février, à 13h30, devant le tribunal de Nantes, par la pensée pour les plus éloignés, en personne pour ceux qui le peuvent. Rassurez-vous, les "méchants" policiers ne seront pas là... d'ailleurs, ils n'étaient déjà pas là à la première audience du 19 octobre : devant l'avalanche de témoignages de leurs brutalités, ils auraient refusé de témoigner (sic...)... d'ailleurs, a-t-on seulement leurs noms et matricules ?"
André Corlay, Vignoble nantais, Midi breton
La Bretagne, c'est 5 départements, point. C'est comme ça qu'on m'a enseigné la géographie en primaire, et l'Histoire est là pour le vérifier.
RépondreSupprimerFaut pas cesser de le répéter sur tous les tons.
Parce qu'on n'a pas le droit de priver des gens de leur identité.
Ah! dame! quand Anne du Berry vient au secours d'Anne de Bretagne!
RépondreSupprimerc'est quelque chose!
;-)