lundi 12 octobre 2009

à portée


LA ssitude comme un lâcher de prise sur l'électricité statique à force d'allumer des bougies où il aurait fallu la flamme de l'espoir,
histoire d'en vivre.

Mi
séréé à cappella, lorsque l'on chante pour s'émouvoir et le choeur toujours qui s'époumone en manque d'oxygène active.

FA ribole, funambule, les hommes du cirque tournent en rond dans leur digestion d'après spectacle.
Regarde toi sous la toile qui fait des vagues au vent de la côte.

SI jamais, sans bémol tu prenais la main ridée dans la tienne et lire dans le parchemin, entre les lignes de vie qui s'effacent.
DO à dur et de face aussi pour se compromettre avec ses souvenirs, ses regrets...tous les silences pas toujours profitables qui t'amènent jusqu'au premières lueurs d'un jour qui se glisse et t'échappe sans faire exprès.
SOL , les pieds au sec dans la chaussette, les sentiments qui sédimentent au risque de boucher le passage.
RE au milieu, devant...comme un piano qui fait la queue sur la scène et le public forcément en redemande de l'émotion à portée de voix.
Allez, emballe moi ça et que ça saute dans la poêle des fritures sauvages qui sentent bon le bois sec comme ta trique.

LA
et pas ailleurs, pose ton sac et des valises sous les yeux du jet lag. De la chambre au salon, ça fait des kilomètres à force; et comme tu fais ta vie au mieux tu te couches, au pire tu finis dans l'excrément-ciel.

T'inquiète c'est pas forcé que tu doives choisir, relis donc tes classiques pour voir si ils ont réponse à tout.../...

.../... à tout ce qui t'anime et te mine aussi, à force de n'en rien savoir.
Et demain à l'heure qui t'arrange le mieux le portrait, tu comprendras que l'histoire était aussi fragile que dérisoire, aussi puérile qu'à mourir debout.
Et si jamais, tu en veux à l'humanité presque entière de t'oublier aussi vite, rassure toi elle n'a jamais envisagé autre chose que ton image qui collait fugacement dans les miroirs, elle n'en sait rien et c'est ptêt mieux ainsi .

DO RE MI, c'est à la portée de tous finalement prends en note sur ton cahier à carreaux et s'il te plait, n'écris plus dans la marge, elle s'efface trop vite dans les embruns du crépuscule.
Sois bien toi, amarré à la dérive. et même si t'es plus trop au courant, les grands fonds seront toujours là, à portée, pour te rappeler à leur musique, pudique, de fin de règne.

2 commentaires:

  1. Très joli, un teste poème sur les notes de la gamme!
    Si j'osais, je pomperais bien un jour ou l'autre...
    PP

    RépondreSupprimer
  2. merci et pani problem pour le pompage
    :-)

    RépondreSupprimer

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...