"Celui qui marche d'un pas lent dans la rue de l'exil, c'est toi, c'est moi. Regarde le bien ce n'est qu'un homme. Qu'importe le temps la ressemblance, le sourire au bout des larmes, l'étranger a toujours un ciel froissé au fond des yeux. Aucun arbre arraché ne donne l'ombre qu'il faut, ni le fruit qu'on attend. La solitude n'est pas un métier ni un déjeuner sur l'herbe, une coquetterie de bohémiens. Demander l'asile est une offense, une blessure avalée avec l'espoir qu'un jour on s'étonnera d'être heureux ici ou là-bas." -éloge de l'autre-tahar ben jelloun
"Les gens, il conviendrait de ne les connaître que disponibles à certaines heures pâles de la nuit près d'une machine à sous, avec des problèmes d'hommes simplement des problèmes de mélancolie. Alors, on boit un verre, en regardant loin derrière la glace du comptoir et l'on se dit qu'il est bien tard... /..." léo ferré-richard-
(les photos ont été délicatement glanées sur la toile, merci d'avance à leurs auteurs)
Voilà qui rend philanthrope et redonne la fierté d'appartenir à la race humaine, quelle beauté dans la diversité!
RépondreSupprimertout à fait c'est dans le mélange qu'on fait les meilleures recettes
RépondreSupprimer:-)