Bonjour la barque! où m'avez vous déniché, moi qui croyais être débarquée aux confins de l'univers(détroit de béring) me voici embarquée sur les chroniques de l'estuaire avec champagne et otaries. Sans doute ce jour là il y avait beaucoup de vent..Un baiser passe, un autre sur le mur d'en face et ma bouche pour mercredi, non samedi! schanaty, marie , machu et merde,moi,le je simple, le jeu du vent.
allez donc savoir...mais ptêt qu'en suivant les courants on finit toujours par trouver un port, un mouillage, le temps d'écrire...tiens! un poème de quelques verres qui font des bulles dans la tête à faire rigoler les otaries ou qui sait... les goélands!
Jacques a dit: fais des bulles fais rigoler les otaries le temps d'écrire à un goéland... Je suis tombée dans ma coupe de champagne Je ne sais pas nager je sombre et c'est grand vent , j'ai bougé et j'ai perdu...le nord! Le temps d'écrire à un goéland, un ,deux, trois, soleil!
quand l'eau tarit, le pêcheur coince la bulle, en attendant que la marée, un peu timide et rougissante sur les bords veuille bien se montrer. Quand au goéland, il se la joue nouvelle vague, et oui! c'est le genre à se la péter la roteuse quand les touristes arrivent, mais bon! ça lui passera et puis comme on dit "dans la vie faut se mouiller"
Je souffre d'un dédoublement de la personalité poétique aigu , je me prend pour un poisson, oh un tout petit , pas le genre à se pavaner, quoique... Les oiseaux se pavanent, mettons que quelquefois le poisson ait des ailes, un triblement??Un drôle d'oiseau!Une maladie rare...En jetant l'encre, je peux tout faire, ramer jusqu'à Béring, faire nager les oiseaux , me pavaner sur mon balcon dans une bulle exquise. L'île de la marquise , soi même! Le beau vent.Un deux trois soleil.Je me la pète un peu aussi, ça passera, me mouiller c'est déjà fait.(schanaty@hotmail.fr)
OOhhhhhhhh! Quand l'eau tarit...j'ai l'esprit d'escalier, alors je me gondole et m'éclate la bulle sur les marches.Avec goéland c'est casse binette, j'essaie même pas.. Ci git l'otarie.
voyons...étant donné que l'abbé ring un peu à l'étroit,quitte sa chapelle un beau matin à bicyclette; étant donné que ce jour là, il fait un vent à ne pas laisser une otarie dehors; étant donné qu'en passant un peu plus tard près du terrain de foot, il se dit: "dieu! que le goal est lent"; étant donné, qu'au jour d'aujourd'hui, personne, je dis bien personne sur les routes de champagne jusqu'au bord de l'estuaire de la loire ne l'a plus revu, vous comprendrez aisément que je vous pose la question, et que je vous demande expressément d'y répondre : mais que faisiez-vous marquise! ce jour là?
Go!élan...Que faisais je au temps chaud je chantais,ou j'écrivais ou je bullais, comme il vous sierra léone, ne vous déplaise!Il fallait bien se lever tôt et se coucher tard, pour la compagnie des zoos taris.Grimée en vraie fausse marquise , j'eus quelque temps du répit, mais hélas quand la bise fut venue,mon enrouement congénital me trahit et pire et je chantais faux. Pensez! Une otarie..De cantatrice je fus vite chauve. Ils voulurent m'enfermer au zoo.C'est ainsi qu'en nageant je dis: go et pris mon élan jusqu'au détroit de l'abbée ring qui a disparu, depuis peu parait il!c'est depuis ce jour que je me tiens à l'envers de l'endroit, sur un seul doigt avec ma coupe de champagne pour faire buller l'océan et chanter les otaries.Cependant, je vais me méfier des bicyclettes, je ne voudrais pas disparaître aussi dramatiquement, car même si le goal est lent,avec un brin d'élan, il fait rire l'otarie.J'opère un detriblement terrible, entre l'abbée ring, le go élan , l'eau tarie, la cantatrice, la vraie fausse marquise, que dis je la quintedoublement, normal, une otarie ça tousse...une secousse de quintes! La marquise de lîle, soi même.
Au détroit de béring, il n'y a ni estuaire, ni loire, il n'y a personne, juste un petit poisson qui se donne des airs de marquise.soi même et vous que faisiez -vous sur cette bicyclette, pendant que je fermais les écoutilles?
Tabernacle! La question est pertinente, que faisais-je sur cette bicyclette? Comment vous dire? Il y avait bien cette foutue côte que j'avais entamée allégrement un peu comme une galette jambon beurre après une journée passée à musarder sur le chemin des douaniers. Et puis... le solide appétit fait de l'oeuf au mollet et pendant que vous fermiez les écoutilles j'en étais rendu à écoper l'oxygène en haut du goal gotha, histoire de retrouver mes esprits barrés comme des voleurs sur la lande à l'Ankou. Béring était servante chez monsieur le curé, diguedonladondaine et le soir au marin quand tout poisse ici même et que les rides profondes oscultent l'âme de l'océan, il y a toujours cette musique marquise, qui vient de l'eau, en ressac des pensées oubliées sur la grève, et qui s'harpe de patiente et puis aussi deux ou trois galets pour percussions nocturnes sablées beurrées aux mouettes et chandon! Parole de terre neuva: quand le verre s'évapore la bulle sue phoque
Sacristie! Juste savait avant de fermer les écoutilles,que le temps gage et qu'il falaise tout de suite tomber la crêpe sur le voile..........Japer sut sur le champ dom pérignon percuter la mouette, taber était nacle, cathé était drale, la bulle était pape , mona était stère,deux poings partout la mouette était noire, car à si boire la côte d'ève était trop lourdes à bicyclette.Qu'alliez vous donc faire sur cette galère? Juste était sous cieux , la marquise était grise, sto cherchait hic et les tonnes lait de l'otarie se changeaient en vin .Le lendemain l'abbée ring ne valait pas chaire!! Est urbi qu'il était,il fit venir le bonl'évêque pour calmer l'émaux de tête.Tirez sur la chevillette et la côte vaincrez!C'est ce qu'il fit et tête au vent, il se mât Noèl, et jeta pak dans le tage..Depuis pak dans le tage nage, nage, nage, pourpoint sombrero gré du courant.La marquise ouvre la bulle et oh père un cygne de croix sur les tempes et rature l'océan avec un stylo à îles.L'île de lamarquise, soi même!
Dernier canal d'air pour étreindre le feu, le poids de ma prose est chiche, je carillonne, je mirlitonne, je cache- peau,je lézardine, je muse à régne, je m'en bourbonne avec dame marquise,je m'en tir bouchonne bien,peu ou proue!Mais dès le poltron minet, je pro calme et vous sussure aux zoreilles le digue don d'aragon: on se contentera de peu!La chair de poly polésie est comestible!Signé:le pois chiche......ou quand le poète n'a plus rien affaire.
Bonjour la barque!
RépondreSupprimeroù m'avez vous déniché, moi qui croyais être débarquée aux confins de l'univers(détroit de béring)
me voici embarquée sur les chroniques de l'estuaire avec champagne et otaries. Sans doute ce jour là il y avait beaucoup de vent..Un baiser passe, un autre sur le mur d'en face et ma bouche pour mercredi, non samedi!
schanaty, marie , machu et merde,moi,le je simple, le jeu du vent.
allez donc savoir...mais ptêt qu'en suivant les courants on finit toujours par trouver un port, un mouillage, le temps d'écrire...tiens! un poème de quelques verres qui font des bulles dans la tête à faire rigoler les otaries ou qui sait... les goélands!
RépondreSupprimerJacques a dit:
RépondreSupprimerfais des bulles
fais rigoler les otaries
le temps d'écrire à un goéland...
Je suis tombée dans ma coupe de champagne
Je ne sais pas nager
je sombre et c'est grand vent , j'ai bougé et j'ai perdu...le nord!
Le temps d'écrire à un goéland, un ,deux, trois, soleil!
quand l'eau tarit, le pêcheur coince la bulle, en attendant que la marée, un peu timide et rougissante sur les bords veuille bien se montrer. Quand au goéland, il se la joue nouvelle vague, et oui! c'est le genre à se la péter la roteuse quand les touristes arrivent, mais bon! ça lui passera et puis comme on dit "dans la vie faut se mouiller"
RépondreSupprimerJe souffre d'un dédoublement de la personalité poétique aigu , je me prend pour un poisson, oh un tout petit , pas le genre à se pavaner, quoique... Les oiseaux se pavanent, mettons que quelquefois le poisson ait des ailes, un triblement??Un drôle d'oiseau!Une maladie rare...En jetant l'encre, je peux tout faire, ramer jusqu'à Béring, faire nager les oiseaux , me pavaner sur mon balcon dans une bulle exquise. L'île de la marquise , soi même! Le beau vent.Un deux trois soleil.Je me la pète un peu aussi, ça passera, me mouiller c'est déjà fait.(schanaty@hotmail.fr)
RépondreSupprimerOOhhhhhhhh! Quand l'eau tarit...j'ai l'esprit d'escalier, alors je me gondole et m'éclate la bulle sur les marches.Avec goéland c'est casse binette, j'essaie même pas.. Ci git l'otarie.
RépondreSupprimervoyons...étant donné que l'abbé ring un peu à l'étroit,quitte sa chapelle un beau matin à bicyclette; étant donné que ce jour là, il fait un vent à ne pas laisser une otarie dehors; étant donné qu'en passant un peu plus tard près du terrain de foot, il se dit: "dieu! que le goal est lent"; étant donné, qu'au jour d'aujourd'hui, personne, je dis bien personne sur les routes de champagne jusqu'au bord de l'estuaire de la loire ne l'a plus revu, vous comprendrez aisément que je vous pose la question, et que je vous demande expressément d'y répondre : mais que faisiez-vous marquise! ce jour là?
RépondreSupprimerGo!élan...Que faisais je au temps chaud je chantais,ou j'écrivais ou je bullais, comme il vous sierra léone, ne vous déplaise!Il fallait bien se lever tôt et se coucher tard, pour la compagnie des zoos taris.Grimée en vraie fausse marquise , j'eus quelque temps du répit, mais hélas quand la bise fut venue,mon enrouement congénital me trahit et pire et je chantais faux. Pensez! Une otarie..De cantatrice je fus vite chauve. Ils voulurent m'enfermer au zoo.C'est ainsi qu'en nageant je dis: go et pris mon élan jusqu'au détroit de l'abbée ring qui a disparu, depuis peu parait il!c'est depuis ce jour que je me tiens à l'envers de l'endroit, sur un seul doigt avec ma coupe de champagne pour faire buller l'océan et chanter les otaries.Cependant, je vais me méfier des bicyclettes, je ne voudrais pas disparaître aussi dramatiquement, car même si le goal est lent,avec un brin d'élan, il fait rire l'otarie.J'opère un detriblement terrible, entre l'abbée ring, le go élan , l'eau tarie, la cantatrice, la vraie fausse marquise, que dis je la quintedoublement, normal, une otarie ça tousse...une secousse de quintes! La marquise de lîle, soi même.
RépondreSupprimerAu détroit de béring, il n'y a ni estuaire, ni loire, il n'y a personne, juste un petit poisson qui se donne des airs de marquise.soi même
RépondreSupprimeret vous que faisiez -vous sur cette bicyclette, pendant que je fermais les écoutilles?
Tabernacle! La question est pertinente, que faisais-je sur cette bicyclette? Comment vous dire? Il y avait bien cette foutue côte que j'avais entamée allégrement un peu comme une galette jambon beurre après une journée passée à musarder sur le chemin des douaniers. Et puis... le solide appétit fait de l'oeuf au mollet et pendant que vous fermiez les écoutilles j'en étais rendu à écoper l'oxygène en haut du goal gotha, histoire de retrouver mes esprits barrés comme des voleurs sur la lande à l'Ankou. Béring était servante chez monsieur le curé, diguedonladondaine et le soir au marin quand tout poisse ici même et que les rides profondes oscultent l'âme de l'océan, il y a toujours cette musique marquise, qui vient de l'eau, en ressac des pensées oubliées sur la grève, et qui s'harpe de patiente et puis aussi deux ou trois galets pour percussions nocturnes sablées beurrées aux mouettes et chandon! Parole de terre neuva: quand le verre s'évapore la bulle sue phoque
RépondreSupprimerSacristie! Juste savait avant de fermer les écoutilles,que le temps gage et qu'il falaise tout de suite tomber la crêpe sur le voile..........Japer sut sur le champ dom pérignon percuter la mouette, taber était nacle, cathé était drale, la bulle était pape , mona était stère,deux poings partout la mouette était noire, car à si boire la côte d'ève était trop lourdes à bicyclette.Qu'alliez vous donc faire sur cette galère?
RépondreSupprimerJuste était sous cieux , la marquise était grise, sto cherchait hic et les tonnes lait de l'otarie se changeaient en vin .Le lendemain l'abbée ring ne valait pas chaire!!
Est urbi qu'il était,il fit venir le bonl'évêque pour calmer l'émaux de tête.Tirez sur la chevillette et la côte vaincrez!C'est ce qu'il fit et tête au vent, il se mât Noèl, et jeta pak dans le tage..Depuis pak dans le tage nage, nage, nage, pourpoint sombrero gré du courant.La marquise ouvre la bulle et oh père un cygne de croix sur les tempes et rature l'océan avec un stylo à îles.L'île de lamarquise, soi même!
Dernier canal d'air pour étreindre le feu, le poids de ma prose est chiche, je carillonne, je mirlitonne, je cache- peau,je lézardine, je muse à régne, je m'en bourbonne avec dame marquise,je m'en tir bouchonne bien,peu ou proue!Mais dès le poltron minet, je pro calme et vous sussure aux zoreilles le digue don d'aragon: on se contentera de peu!La chair de poly polésie est comestible!Signé:le pois chiche......ou quand le poète n'a plus rien affaire.
RépondreSupprimerL'homme immobile de la cabine téléphonique , a un message de bulle de carpe à l'esprit d'escalier, dans sa boîte bleue. Elle même.
RépondreSupprimerOhé du bateau !!
RépondreSupprimerJ'ai affûté un navire, j'ai taillé mon crayon et j'ai tracé la route..Vous avez une histoire.la marquise au regret de ses bêtises.