dimanche 21 mars 2010
pour tout cela et plus encore
Pour tous les rêveurs et toutes leurs utopies de philosophes en herbe. Ceux qui doutent et ne seront jamais franchement à l'aise, dans un monde lisse et rhétoriquement implacable.
Pour tous les "pas à sa place" , les différents, les souffrants, les incompris, les -Solitude- Les ridés du dedans, les perdus au dehors.
Pour tous les ptits joueurs de la courte semaine, les marins restés au port avec un noeud dans la gorge les oiseaux aux ailes coupées qui se trainent sur le quai. D'ici et demain, d'hier et toujours, quelles que soient les couleurs dont on habillerait le désespoir, la lassitude, l'amertume, sa lucidité aux angles qui coupent, et l'émotion où l'on se noie souvent. Et même aussi pour les acteurs de l'esbroufe , tellement fragiles qu'ils voudraient nous faire croire que eux ils savent, parce qu'ils ont le verbe haut sur un baromètre au plus bas.
Pour l'incompréhension, le pousse toi que je m'y mette, le "Qui c'est celui là" le "Et Dieu dans tout ça"
Pour les mâles du siècle qui pissent sur la lunette et la femelle dans tous ses états! Le mélange des genres aussi pour picorer où ça nous chante Les militants de l'absolu et toutes leurs croyances qui brillent, aussi vite qu'elles se fanent en hiver, Le parti pris qui se fait la malle sans rien déclarer à la frontière, les choeurs de l'armée bougent conduisant leurs chars à la gay-pride des printemps.
Pour tous les ministères en location, les propriétaires de vent et leur derrière qui s'assure.
Pour tous les mots qui parlent d'amour sans jamais le bien nommer.
Pour la compagnie des mouettes, des corbeaux et des rouge-gorge.
Pour le charme qui sait se couvrir d'un châle de fin du jour.
Pour les drapeaux quand ils refusent de se battre et la patrie universelle.
Pour toutes les langues déliées et irremplaçables.
Pour la douceur d'un sein qui ne ressemble à aucune autre.
Pour l'âme car elle existe même si on ne la trouve pas, on la reconnait pourtant au service de ses mains quand elles deviennent artistes, et dans cette lumière si particulière et douce sur le front de certains.
Pour la révolte qui s'accroche à l'injustice, et l'humour égratignant les cathédrales du pouvoir et du savoir sans l'Etre.
Pour les rires sans cravate , sans permis et volages, les phrases que l'on retourne comme des crêpes et qui nous chavirent la concience.
Pour le plaisir de dire, de faire et d'écouter...
Pour le droit d'être en vie et de ne pas y rester.
Pour l'instant irremplaçable.
Pour tout cela et plus encore...
Merci la Vie
-envoyé par Ancopwe-
On bouge ou quoi? c'est l'entracte
Ben tu vois quand on veut, on est déjà sur le dimanche...C'est un"truc de OUF" comme ils causent les jeunes (en mettant bien l'accent sur la fin) , c'est un truc de vieux...comme ils causent aussi ,plus discrètement, mais on les entend aussi (ptit con va).
Vi!.comme quoi le temps il se barre pas pareil suivant le blanchissement en argent ...ou pas; et pas la peine d'être Helvète underground pour comprendre ça! Il y a des lois ainsi faites, que dis-je des vérités (oui, parce que faut pas confondre loi et vérité) non-inscrites sur aucun tableau noir et qui laissent vert le Einstein de laboratoire à la blouse scientifique ou prétendue telle. J'en ai déjà causé et je me répète (autre vérité inhérente à la fréquentation des poils du dessus, et ceux du dessous aussi) l'élasticité du temps qui trépasse est inversement proportionnelle avec l'âge du capitaine et donc, en conclusion, je vous ferais aimablement remarquer que l'on est déjà dimanche et que OUAH! putain(g)sans décaunner (comme iles disent plus bas) ça m'en bouche un coin,
Et qu'est ce qu'il est de bon thon rouge ou pas, (oui parce qu'à droite ça marche aussi) de rajouter sur le gâteau (du dimanche) ? hein(g) ! bande de mal réveillés-
Ben,
Heu! j'sais plus
j'ai perdu le fil
et ça aussi c'est à mettre sur le compte de...
Mais au fait, tant que ça me reviens, à part pour nos lecteurs guadeloupéens qui ont déjà donné et que je salue avec quelques heures de décalage, c'est le deuxième tour des régionales qu'il me semble, pour le reste de l'hexagone et colonies comprises, et donc cher(e) lectrice électeur, aussi-visme dit qu'aussi vite fait, n'oublions pas d'aller faire un tour au confessionnal le plus proche histoire d'avouer leurs péchés.
Enfin vous ferez bien comme vous voudrez, vous êtes grand et d'ailleurs c'est pour ça qu'on est déjà dimanche...
Pas vrai?
La dessus je vais ptêt aller me manger une tite pomme, tiens! pour fêter ça!
Bougez-pas je reviens!
Quoi?
Mais oui, naturellement, vous pouvez aller aux toilettes pendant l'entracte!
Ah ben tiens, ça aussi, c'est à cause de....samedi 20 mars 2010
ARRIBA
Le festival du cinéma espagnol de Nantes fête jusqu'au 30 mars sa vingtième édition
qui n'a pas son programme?
qui n'a pas son programme?
nos amis les bêtes
-envoyé par Jean-Rémi-
"J'aime la nature
Et les fleu-fleurs des champs
Mon coeur est tout ému
Et Dieu, que c'est touchant
Je vais m'étendre
Sur l'herbe tendre
En écoutant, ça me distrait
L'odeur si forte des forêts, la la la
L'odeur si forte des forêts, la la la
Le soir
Au rendez vous de ma promise
Je mettrais ma belle chemise
Et mon beau costume à carreaux
J'irais
Doucement frapper à sa fenêtre
Tout rougissant pour lui remettre
Mon petit bouquet de poireaux
Alors
Nous irions faire une promenade
Je lui conterais des salades
A cheval dessus mon vélo
Et puis
Pour conquérir ma paysanne
Je lui ferais le coup de la panne
Sur un chemin au bord de l'eau
J'aime la nature
Et les fleu-fleurs des champs
Mon coeur est tout ému
Et Dieu, que c'est touchant
Je vais m'étendre
Sur l'herbe tendre
En écoutant, ça me distrait
L'odeur si forte des forêts, la la la
L'odeur si forte des forêts, la la la
Après
Quand on serait mari et femme
Et qu'elle aurait du vague à l'âme
Moi, je l'aménerais danser
Avec
Ma paire de sabots du dimanche
J'mettrais mes deux mains sur ses hanches
Et même encore du plus osé
En plus
On boirait plus que de coutume
J'aurais taché mon beau costume
Avec un p'tit vin du pays
Et puis
La fin serait pas très morale
Mais la population rurale
Augmenterait petit à petit
J'aime la nature
Et les fleu-fleurs des champs
Mon coeur est tout ému
Et Dieu, que c'est touchant
Je vais m'étendre
Sur l'herbe tendre
En écoutant, ça me distrait
L'odeur si forte des forêts, la la la
L'odeur si forte des forêts, la la la"
-machin-
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