Passer ses représentations par la fenêtre
et ainsi donner de l'air à des idées quelque peu bringuebalantes.
Ouvrir son horizon bouché, rouillé etc par des convictions pérennes
et leur pot aux roses,
super, super chierie ...
Résister aux dogmes clés en main de Césars ou Césarines d'opérette.
Ne pas choisir la facilité des beaux parleurs, grandes gueules d'entourloupe
camelots ou camelotes de la politique.
Respirer
S'inspirer...
Article un:
Je ne suis pas à vendre.
Article deux:
Je n'achète pas -j'emprunte - parfois.
Article trois:
J'efface tout et je recommence
ad vitam.
illustration: source toile
"Les ciels bleus, le beau temps après la pluie, les accalmies, Akhila savait que ce n'était là que des illusions entretenues en chaussant des lunettes qui vous font voir la vie en rose. Cela faisait longtemps qu'elle les avait mis en miettes, ces verres rosés, et qu'elle portait des lunettes à monture de métal, neutres à l'intérieur, teintées à l'extérieur. Même les rayons du soleil cessaient de briller lorsque les lunettes d'Akhila viraient au marron foncé."
Anita Nair
\|||||||||||||||||||||||||||||||[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[
|{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{{
"Il y a un adage qui dit qu'on fait du mal à ceux qu'on aime, mais il oublie de dire qu'on aime ceux qui nous font du mal."
Chuck Palahniuk
"Sans doute l'homme heureux ne se sent-il bien que parce que les
malheureux portent leur fardeau en silence, car sans ce silence le
bonheur serait impossible. C'est une anesthésie générale. Il faudrait
que derrière la porte de chaque homme satisfait, heureux, s'en tînt un
autre qui frapperait sans arrêt du marteau pour lui rappeler qu'il
existe des malheureux, que, si heureux soit-il, tôt ou tard la vie lui
montrera ses griffes, qu'un malheur surviendra — maladie, pauvreté,
perte — et que nul ne le verra, ne l'entendra, pas plus que maintenant
il ne voit ni n'entend les autres. Mais l'homme au marteau n'existe pas,
l'homme heureux vit en paix et les menus soucis de l'existence
l'agitent à peine, comme le vent agite le tremble, et tout est bien."
Anton Tchekhov
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire