mercredi 17 août 2016

vitesse et précipitation


Tout va vite,
trop vite.
J'essaie de suivre et au bout du compte, je m'emmêle dans les fils d'une histoire en perpétuelle ébullition
me retrouvant vite fait mal fait dans les cordes;
tout emberlificoté, 
au bord de la déroute,
en manque d'oxygène et de repères stables.


Bien sur il ne tient qu'à moi de couper l'attache,
 ( nettoyer la tâche  rapide?)
 de dénouer les ficelles pour ne point me lacets.

Le tintamarre assourdissant  des chaînes à tout faire propres à rouiller un esprit vagabond, butineur
et en quête de...soi.
Mais où suis-je là dedans?
Que  reste-il de ma part de latitude à regarder passer l'entrain ?
Quelle distance mettre pour éviter de confondre les idées  à savourer, mâcher lentement et réfléchir
avec l'ébauche, la chimère, l'aperçu ...aussi vite pétoire, péremptoire  affirmé...qu'aussi vite enterré, oublié?












4 commentaires:

  1. Voilà Jean jacques a dit exactement comme je devais ; Quel bourbier !
    Je veux juste partir, retrouver la fille qui s'est oubliée, maintenant rouillée ... Et après hein ?

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  2. Le petit train de la mémoire :)

    https://youtu.be/kef9_uNT0kw

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    Réponses
    1. "Qu'est-ce qui te prend mon sucre de canne
      De te klaxonner la gueule sombrer sur les récifs
      De ta mémoire et revoir ton passif
      En respirant la colophane

      La nostalgie camarade.../..."

      Merci pour ce petit train d'enfance Marie
      :-)

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