samedi 31 mai 2014

épreuve en lumière

L'HOMME ET LA MER


photo: Jacques de Thézac

Photo Joao-Luis Bulcao


photo Vince Bevan

Photo Antoine Soubigou

photo Sylvain le Lepvrier

photo Yasmine Sweetlove

Photos     Jean Baptiste Senegas-Hervé Bourmaud

Photo: Gildas Bitout "les hommes poissons"

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Festival Photo La Gacilly

Avec, parmi les photographes dans la nature:


photo Nick Brandt

Photo Edouard Boubat


photo Guillaume Herbaut


Photo:  Patrick Messina

Photo: Patrick Tourneboeuf




jeudi 29 mai 2014

rien que la nuance


 "Car nous voulons la nuance...
                 O rien que la nuance!..."
S.A.





"Un coquillage dessinait sur le sable
ses pensées, de sorte que
le lien entre ses mots et le silence
paraissait simplifié.

Un coquillage dénudait son savoir
pour écouter, afin que seule
l'oreille sur la grève
puisse marcher.

Un coquillage, décalquait sa mémoire
pour oublier, de sorte que
l'élan de son pouds au soleil
puisse brûler.

Un coquillage éduquait sa raison
dans l'avenir, afin que seul
son rêve dans l'espace
puisse gagner."

Soizic Audrin "-Lettre du silence"







"on ira oriniques
on sépousera
on s'époumonera
on s'poustoulera on soufflera
le vent et récoltera la tempête
et sur le sable du rivage
rivés au large
on se sabordera de rage
non contenue compte tenu
de notre âge
à moins qu'on ne naufrage
fragile épave pavillon au vent."

Jean-Paul Barbe - "Croisière"







mardi 27 mai 2014

circonstances atténuantes


Se sortir du bruit
                             de l'intempestif
de la vie
de  l'autre
qui apparait à certaines heures
insupportable
sans que l'on sache vraiment pourquoi.

Tant est si bien
que l'émotion nous dépasse  et sans mettre son clignotant.

Buh!  La mal élevée.





Il faudrait relativiser -comme on dit dans les livres du savoir fonctionnel-
Mais parfois
empoté par une vague utérine 
qui infuse ptêt un peu trop ...
on se retrouve à compter ses abatis à la surface des sentiments
sédiments
et mardi 
mal appris.

Résumons-nous
Tu veux bien.
Retrouvons  nos essentiels,
concurrent ciel
dans le marais
évaporé
profitant d'une accalmie pour faire pousser la rengaine, 
du genre:
Salicorne de brume
piquant son phare.




Je suis à la plage mais pas forcément au courant
parce qu'il m'échappe encore la garantie 
de croire  au service après-vente

On dit Ankou par ici
je crois,
quand on est poli
par les tempêtes
et
les vieilles recettes
de la galette à paté
par la vague tricotée
chez bi-gouden
hétéroclite.





lundi 26 mai 2014

Nantes Pride 2014




PRIDE NANTES 2014

























CINEPRIDE













GAY PRIDE 2014






illustrations source: Toile

trop politologue pour être honnête


illustration source


Je suis là dans ma tour d'ivoire,
et carré
comme une nouille,
 à regarder passer
les résolutions
sur l'écran plat de mes nuits blanches.

et je remets le son

C'est promis juré
 mais pas craché.
(on est entre cravatés quand même)
Il va falloir changer
l'électeur qu'a fait sous Louis
après le rot.

A ma gôche, à ma droate ça sent
tu le sens toi aussi?
comme une  assemblée de dépités
et le facho pour la saison 
oups pardon
le choco BN
(blue narines )
lui
ben
 il plastronne gentiment
lisse comme un séminariste qui s'rait du gendre idéal
excrément  poli
extrême onction
pas du genre à envahir la Pologne (enfin pas tout de suite, pas trop vite)
la nuit des longs goulots et des ptits blaireaux 
on oublie
pour 
un
batterie yacht
qui nous mène en bateau
nazi dans le métro goldwyn mayer
et son cinéma
grandeur mature

Tu sais  Günther, j'ai beaucoup changé ces dernières années
plein les bottes à force des blagues pour cranes rasés
d'un père même plus spirituel
D'ailleurs maintenant, pffff, tout le monde ou presque a la tonsure
c'est dire...
Alors, j'ai viré la  garde robe  et les enfants de choeur
pour une  demoiselle d'honneur .
qui passe partout
et au train (plombé) où vont les choses
tu vas voir Eva
dans pas longtemps 
on pourra s'refaire un défilé sous l'Arc de Triomphe
comme au bon vieux taon
mais
chuttttt
 d'ici là,
 popus et mouches cousues.

et je coupe le son

j'ai envie de vomir
pas toi?





dimanche 25 mai 2014

un jour pourtant


"Un temps viendra où l'on ne concevra pas qu'il fut un ordre social dans lequel un homme comptait un million de revenu, tandis qu'un autre n'avait pas de quoi payer son dîner."
-François-René de Chateaubriand-





savouré chez: "La crevaison" (pour le monde qui va)











"Tout ce que l'homme fut de grand et de sublime
Sa protestation ses chants et ses héros
Au dessus de ce corps et contre ses bourreaux
A Grenade aujourd'hui surgit devant le crime

Et cette bouche absente et Lorca qui s'est tu
Emplissant tout à coup l'univers de silence
Contre les violents tourne la violence
Dieu le fracas que fait un poète qu'on tue

Un jour pourtant un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

Ah je désespérais de mes frères sauvages
Je voyais je voyais l'avenir à genoux
La Bête triomphante et la pierre sur nous
Et le feu des soldats porté sur nos rivages

Quoi toujours ce serait par atroce marché
Un partage incessant que se font de la terre
Entre eux ces assassins que craignent les panthères
Et dont tremble un poignard quand leur main l'a touché

Un jour pourtant un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche

Quoi toujours ce serait la guerre la querelle
Des manières de rois et des fronts prosternés
Et l'enfant de la femme inutilement né
Les blés déchiquetés toujours des sauterelles

Quoi les bagnes toujours et la chair sous la roue
Le massacre toujours justifié d'idoles
Aux cadavres jeté ce manteau de paroles
Le bâillon pour la bouche et pour la main le clou

Un jour pourtant un jour viendra couleur d'orange
Un jour de palme un jour de feuillages au front
Un jour d'épaule nue où les gens s'aimeront
Un jour comme un oiseau sur la plus haute branche"

-Louis Aragon-











samedi 24 mai 2014

l'horizon débouché triple


 Consignes d'embarquement

Veuillez nuancer.
                               Veuillez contraster.
Veuillez
vous jeter à l'eau mais -surtout- ne pas faire de vagues.

A l'Horizon ?
-Oui! C'est lui-même
Auriez-vous l'amabilité de nous laisser le champ libre, s'il vous plait?
-Mais...heu!....Qui êtes-vous?
Cela n'a guère d'importance. Nous voudrions simplement que vous dégagiez de notre vue.
-Enfin, je ne comprends pas. J'ai toujours été là et...
Et... justement, je suis au regret de vous annoncer que  vous n'êtes plus dans la ligne  et désormais l'avenir vous est compté.

Silence à l'autre bout du fil
et puis on entend au loin comme un bruit de chasse d'eau et ensuite une toute petite voix qui dit:
"J'ai fini, l'infini"




"Avoir un système borne son horizon; n'en avoir pas est impossible. Le mieux est d'en posséder plusieurs."
-Raymond que d'eau Queneau-





"La marée, je l´ai dans le cœur
Qui me remonte comme un signe
Je meurs de ma petite sœur, de mon enfance et de mon cygne
Un bateau, ça dépend comment
On l´arrime au port de justesse
Il pleure de mon firmament
Des années lumières et j´en laisse
Je suis le fantôme jersey
Celui qui vient les soirs de frime
Te lancer la brume en baiser
Et te ramasser dans ses rimes
Comme le trémail de juillet
Où luisait le loup solitaire
Celui que je voyais briller
Aux doigts de sable de la terre

Rappelle-toi ce chien de mer
Que nous libérions sur parole
Et qui gueule dans le désert
Des goémons de nécropole
Je suis sûr que la vie est là
Avec ses poumons de flanelle
Quand il pleure de ces temps là
Le froid tout gris qui nous appelle
Je me souviens des soirs là-bas
Et des sprints gagnés sur l´écume
Cette bave des chevaux ras
Au raz des rocs qui se consument
Ö l´ange des plaisirs perdus
Ö rumeurs d´une autre habitude
Mes désirs dès lors ne sont plus
Qu´un chagrin de ma solitude

Et le diable des soirs conquis
Avec ses pâleurs de rescousse
Et le squale des paradis
Dans le milieu mouillé de mousse
Reviens fille verte des fjords
Reviens violon des violonades
Dans le port fanfarent les cors
Pour le retour des camarades
Ö parfum rare des salants
Dans le poivre feu des gerçures
Quand j´allais, géométrisant,
Mon âme au creux de ta blessure
Dans le désordre de ton cul
Poissé dans des draps d´aube fine
Je voyais un vitrail de plus,
Et toi fille verte, mon spleen

Les coquillages figurant
Sous les sunlights cassés liquides
Jouent de la castagnette tans
Qu´on dirait l´Espagne livide
Dieux de granits, ayez pitié
De leur vocation de parure
Quand le couteau vient s´immiscer
Dans leur castagnette figure
Et je voyais ce qu´on pressent
Quand on pressent l´entrevoyure
Entre les persiennes du sang
Et que les globules figurent
Une mathématique bleue,
Sur cette mer jamais étale
D´où me remonte peu à peu
Cette mémoire des étoiles

Cette rumeur qui vient de là
Sous l´arc copain où je m´aveugle
Ces mains qui me font du fla-fla
Ces mains ruminantes qui meuglent
Cette rumeur me suit longtemps
Comme un mendiant sous l´anathème
Comme l´ombre qui perd son temps
À dessiner mon théorème
Et sous mon maquillage roux
S´en vient battre comme une porte
Cette rumeur qui va debout
Dans la rue, aux musiques mortes
C´est fini, la mer, c´est fini
Sur la plage, le sable bêle
Comme des moutons d´infini...
Quand la mer bergère m´appelle"


-Léo Ferré-





jeudi 22 mai 2014

paisible


"Je cherche le lieu fidèle, la trame, le secret des secrets à senteur d'océan, le latin insensé où les ruisseaux foisonnent la lueur rebelle et la fleur du temps"
-Andrée Chedid-

découvert chez "Ombre et Lumière":





"Je compte infiniment sur des beaux hasards
servi par mon aptitude à leur sauter aux cheveux."
-Victor Segalen-






et si ce n'était qu'un rêve



".../...Le révolté au sens étymologique, fait volte-face.
Il marchait sous le fouet du maître.
Le voilà qui fait face.
Il  oppose ce qui est préférable à ce qui ne l'est pas.
La révolte prouve qu'elle est le mouvement même de la vie et qu'on ne peut la nier sans renoncer à vivre.
Son cri le plus dur à chaque fois fait se lever un être.
elle est donc amour et fécondité, ou elle n'est rien.
.../...Au bout de ces ténèbres, une lumière pourtant est inévitable que nous devinons déjà et dont nous avons seulement à lutter pour qu'elle soit.
Par-delà le nihilisme, nous tous, parmi les ruines, préparons une renaissance.
Mais peu le savent.
.../..."
extraits de "L'homme révolté" -Albert Camus-



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"Ils n’ont toujours pas compris qui je suis… une femme certes… mais une femme guerrière… un sujet surréel et non un objet sensuel.
Qui fait et se fait chaque jour la guerre sur le plan virtuel… parce que c’est là que tout se sème et tout se récolte… sur le champ des possibles… celui de notre pouvoir être.
Et plus on me cherche et moins on me trouve… comme je l’ai déjà dit, je suis toujours ailleurs, jamais là où je suis… comme vous, je me cherche… comme vous, je m’y perds. C’est comme ça que je me fais aussi la guerre… en changeant quotidiennement d’air, d’atmosphère… être différente de ce que je parais… toujours plus exigeante et moins conciliante avec l’opinion courante… le regard de l’autre, le retard de l’autre sur votre propre regard qui est à l’origine de tous les écarts.
Et puis ça ne me dérange pas de traverser le désert, pourvu que je ne sois pas mal accompagné. Seule plutôt que désolée…
Je n’ai jamais été dupe de cette fuite en avant des apparences parce que j’ai toujours gardé au fond de moi, l’envie de persévérer dans ma décision d’être toujours Autre. Errante plutôt que fuyante… quitte à choisir, je choisis l’erreur plutôt que la fuite. Ou plus exactement l’errance comme une espèce de danse… danse sur un seul pied… le pied du hasard… c’est ce qui explique peut-être l’envie de certains de me faire trébucher.
Car dans la vie, je n’ai rencontré que deux types d’hommes : ceux qui t’envient et ceux qui t’en veulent… mais personne pour aimer personne.
C’est pour favoriser la rencontre d’un troisième type, que j’ai crée cet univers virtuel, où le possible prend le pas sur le réel, l’art sur la nature, et la littérature sur la pourriture.
Parce que j’ai toujours eu la naïveté de croire qu’il n’y a pas de plus bel amour que l’amour des idées… qu’à part nos idéaux, tout le reste mérite de disparaître.

Hegel disait que la lecture des journaux, était sa prière quotidienne : autrement dit : les faits et l’interprétation des faits.
Seulement voilà, les faits ne m’intéressent pas plus que l’interprétation des faits. Ce n’est pas ma tasse café, j’aurais plutôt tendance à m’en défaire. À déconstruire comme un enfant pour tout reconstruire.
Non, surtout pas les faits, je laisse ce soin ou ce besoin à d’autres. Je ne m’intéresse qu’à ce qu’on peut encore faire, ce qui reste encore possible… peut-être même jamais réalisé… l’inédit, l’insolite… l’interdit… de nouveaux horizons pour défier la Raison.
Cela relève de quel art ? de la peinture, de la sculpture ou de la contre-culture ?
En tous cas, ce n’est pas du cinéma… c’est plutôt un nouvel art de vivre qui s’affirme en affirmant qu’on ne peut pas vivre sans idéal… que le plus bel échange, c’est l’échange de nos idéaux, de nos rêves, de nos projections.
C’est pour moi le préalable à toute émancipation des hommes, des femmes et des enfants… c’est ce que j’essaye d’exprimer tous les jours dans mes vidéos, en guise de prière.
Et si ce n’était qu’un rêve ?"


-Le journal de Personne-

                                                  \\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\



lu sur "Si vous voulez vraiment que je vous dise,":

Notre grand tourment dans l'existence vient de ce que nous sommes éternellement seuls et tous nos efforts, tous nos actes ne tendent qu'à fuir cette solitude.
-Guy de Maupassant-





mercredi 21 mai 2014

le plateau survolté



 Dans la série des grands ou petits projets inutiles d'ici et d'ailleurs...

 "Maquarelle", comme dans les années du Gardarem lo Larzac (peuchère ça nous rajeunit pas) Bretagne Occitanie même combat .J'ai  le grand plaisir et l'honneur de vous annoncer une petite fiesta , un baletti (ou bal trad c'est comme on veut) organisé par les hommes et femmes à plateau  (hu! hu! hu!) survolté qui se battent contre une filiale d'EDF - RTE société anonyme (ben voyons) -qui a décidé d'implanter sur une dizaine d'hectares de leur commune un maxi transformateur de 2100 mégawatts soit  en équivalence 2 réacteurs nucléaires... pour refiler de l'électricité à l'Espagne. Pourquoi donc? ben ça, collègue, ce sont les arrangements du Kapitalisme flamboyant , pouvez pas comprendre alors circulez y-a rien à voir.(.enfin si justement ).et comme ils  disent au plateau survolté

Du cimetière électro-industriel on en veut pas 

Depuis quelques années avec les moyens du bord (du Tarn) et le silence géné aux entournures des écolos estampillés... Ben tu comprends à la clé il y a aussi des dizaines d'éoliennes et c'est si bô(bo) une éolienne la nuit non?
 Et alors où qu'il est le José ? Et bé,  il attend le retour de l'été pour faire le buzz à Montredon avé les  parisien(g)s qui descendront en quatre quatre manger du bio local au prix fort...
Mais là je sens que je m'énerve et forcément... je m'égare.


Donc ce samedi 24 mai  sur la commune de Saint-Victor et Melvieu, les survoltés proposent ballade botanique, contes et chansons en occitans avec l'escapade des Raspes, farçou, saucisses, kriek...et bal occitan avec  le groupe Otant'oc.

Si vous êtes dans le coin allez-y c'est pour la bonne cause et si vous n'y êtes pas vous pouvez toujours aller faire un tour sur leur site et par exemple,  signer la pétition.






 

 

Voilà ce qu'on pouvait lire, il y a quelques temps sur un blog des gens du plateau:
"Bienvenue,, remontées comme un cou-cou contre les pratiques antidémocratiques des gentils élus de nos campagnes, ces pages sont destinées à faire connaitre du Sud-Aveyron , aussi destiné à faire entendre un autre que le blabla convenu des élus et inconvenant la plupart du temps.
tant est qu'ils ne reculent que devant peu de chose pour mener à bon port tel ou tel projet dont l’intérêt semble bien douteux pourtant.

Enfin, critique également des production d'énergie, sous couvert d'écologie mais essentiellement liées au profit , telles que les parcs éoliens et photovoltaïques qui ne répondent à aucune demande locale, les productions industrielles , porcheries et bergeries démesurées .

La main mise progressive des multinationales sur les ressources locales fait partie de stratégies dangereuses pour ceux qui vivent ici.
Très peu de transports en commun et trop chers, bétonnage croissant des terres , expropriation d'agriculteurs, construction de parcs photovoltaïques sur plusieurs hectares, centralisation de la production d'électricité à partir de l'éolien sur le Sud-Aveyron, doublement des lignes THT et construction nouvelles de transformateurs sur plusieurs hectares. Vider la campagne de ses habitants en les acculant à habiter en ville faute de moyens!
La campagne une fois vide de ses habitants , réduite à un réceptacle de ressources à exploiter et à extraire, dessus et dessous: Gaz de schiste, éolien, photovoltaïque, l'eau, stockage des déchets , exploitation outre mesure du bois des forêts, de grandes fermes industrielles pour des élevages hors-sol, des terres louées ou vendues à des multinationales...

Comme la gestion de l'eau qui doit rester locale, comme les hôpitaux qui doivent rester locaux, ainsi en est-il de la production des aliments, de la production d'énergie, des transports scolaires , tout cela doit être au bénéfice de ceux qui habitent et travaillent ici, pour la préservation de la qualité de vie et du territoire."

 

 

Au chapitre des bonnes nouvelles les opposants au transfo ont  à la surprise générale... raflé  (et largement en plus) la mairie aux dernières municipales...

 

les photos de manif proviennent de l'association et les autres ben dame ce sont les miennes

 

 

 

 

 

 

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