vendredi 20 février 2009

pour L.., qui sait pourquoi.





























"Pour L.., qui sait pourquoi" Le bouquin demarre ainsi sur une énigme; Enfin, pas pour tout le monde puisqu''il y a au moins - à priori- deux personnes qui sont au courant du "pourquoi" D.., l'auteur et L a qui s'adresse l'ex voto du début de livre. On peut aussi imaginer quelques amis, famille et proches en tout genre qui auraient pu, volontairement ou non , se trouver dans la confidence, à un moment où un autre. Mais en fait tout cela relève bien entendu du supposé dans le pré, puisque jusqu'ici rien ne confirme que -petit a- L connaisse véritablement, je veux dire réellement enfin quoi,m'embrouillez-pas, ai connaissance de D et puis petit b au cas où ce serait le cas, sait-elle seulement pourquoi D pense qu'elle sait pourquoi ? Au delà de cette révélation qui sent fort la poétique du coeur gravé dans l'arbre de la forêt des soupirs ou de la peinture blanche au rouleau sur le pont de l'autoroute A9, on voudrait ainsi faire savoir au lecteur qu'il ne sait rien, sur un sujet dont il n'avait avant d'ouvrir le livre, aucune raison de se préoccuper, mais maintenant - IL SAIT qu'il ne sait pas- et bien sur cela change tout. Qui est L se demande le lecteur ? Où tout au moins... pense D, c'est la question que ses lecteurs devraient se suggérer sans non plus y passer trop de temps, sinon ils ne seraient pas prêt de commencer le livre ce qui pourrait être quand même génant pour la suite de l'histoire d'autant si j'en crois le résumé de page de garde sur reliure biblioteca, on pourrait également se poser quelques questions sur D- En effet, le livre raconte l'histoire de D, enfin pour la compréhension de mon public et surtout de moi même, nous l'appelerons Delphine, enfin quand je dis -nous- il s'agit bien entendu du choix de D l'auteur. et là soudain, pour les plus vifs d'entre-nous, je sens s'établir une connection irrémédiable entre Delphine et son créateur ce qui pourrait nous amener à des suppositions faciles du genre "c'est un premier roman" - "l'auteur parle de lui, c'est inévitable" ou d'elle, puisque -Dominique ménard- qu'elle s'appelle et -elle n'en est pas à son premier roman. Et oui forcément j'ai google vérifié, j'ai même cherché des traces éventuelles de L sur l'underground à toile laineux, mais là comme on dit en préparant le potage de la fête du têt "j'ai fait chou blanc". Ceci étant même avec l'expérience et le recul de la maturité de l'écrivain confirmé, rien n'empêche roman après roman ou sur un coup de tête (pour le potage, c'est trop tard, ils ont beaucoup aimé) de vouloir sans trop specter parler de sa petite personne à travers ses romans, y'en a bien qui s'étalent quasi-journellement sur leur blog ... ne croyez-pas que je vais donner des noms ce serait trop facile! "Pourquoi?" Z'avez qu'à demander à L.


-pause pipi-




-"Dominique Mainard Pour Vous"- Dans un rectangle blanc d'environ 8,5 cm sur 5, c'est ainsi que se présente l'auteur en gras et le titre de son livre un peu moins gras, derrière en fond, on peur apercevoir en haut à peu près au milieu de la page, ce qui ressemblerait à priori à une colombe, les ailes déployées, comme le sont souvent,-si je peux me permettre cette réflexion tout à fait personnelle- les colombes, dans les diverses représentations visuelles de celles-ci. En bas à gauche, on trouve deux mains tendues, avec des bras qui les tiennent, des bras chemisés dans ce qui ressemblerait à première vue à de la soie ou du satin peut-être , de couleur bordeaux, les manches retournées- On peut se demander si l'oiseau vient de les quitter, mais je préfère exclure cette idée dans la mesure où la colombe ou tourterelle, est tournée vers les mains et je me dis que décoller ainsi, à l'envers ne doit pas être bien aisé . Certes, je ne suis pas colombophile -du nord- oui il y a beaucoup de colombophiles dans le nord-j'ai également vérifié- et je précise qu'il ne s'agit pas pour autant d'amateurs de plat réunionnais ou d'inspecteur imperméabilisé en 403. Donc on peut sans véritablement se tromper, arguer du faît ( tiens!, on dirait un nom de propriétaire béké en martinique) que c'est l'oiseau qui va dans peu de temps à mains rire- qui est le pendant d'atterir sur les mains mais aussi avec l'idée sous-jacente d'éventuellement se lâcher les sphincters en passant au dessus - d'où l'expression populaire et peu usitée: "à mains rire qui rira le dernier". voilà je crois avoir à peu près tout dit sur ce livre qu'il me reste bien sur à lire- pour vous- pas de confusion, c'est le titre je le rappelle, ne pensez pas que je vais je vais me transformer en lecteur à voix haute- même si- confidence- j'ai déjà pensé - il y a longtemps et forcément prescrition- m'exercer à cette activité, allez donc savoir pourquoi et même L ne le sait pas, peut-être après avoir lu le livre de raymond jean -la lectrice dans lequel M faisait la lecture "d'une voix chaude et claire" ce qui par la suite donna des idées à C qui dans le film de M inspiré du roman, "décide à son tour de faire la lecture à domicile à des gens esseulés. Après avoir passé une petite annonce, elle fait la connaissance d'Eric, un adolescent handicapé, et de ses autres 'clients' : une fillette espiègle, une veuve de général marxiste dans l'âme, un P-DG névrosé qui se fait lire 'L'amant' de Marguerite Duras, ou encore un magistrat à la retraite, grand admirateur des sulfureux écrits du Marquis de sade." (source wikipedia) et il ne faudrait pas pour autant oublier delphine qui comme constance ou marie "a compris de quoi les être humains ont besoin: de réconfort, d'illusion, de mensonge même,de tout ce qui peut rendre la vie supportable." et dans sa quête de sens- ça c'est moi qui rajoute- pour faire plus sérieux, documenté, professionnel quoi! et bien delphine elle aussi, va faire des rencontres comme cette "vieille femme , grande lectrice de livres à l'eau de rose" ou encore "un adolescent autiste vivant dals le monde des jeux virtuels, mais aussi un homosexuel malade ( c'est plus fort l'homosexuel malade non?) dont delphine accompagnera les derniers mois, et, enfin l'amant de celui-ci, qui éveillera en elle (un livre écrit par une femme hétéro?...) des sentiments inconnus.". Je ne vois pas à l'heure qu'il est ce que je pourrais objectivement rajouter sur ce livre, c'est toujours un peu désagréable il me semble, de causer de quelque chose que l'on ne connait pas-même si par contre je l'ai vu et c'est sans doutes, je m'en excuse d'avance, ce qui a fait toute la différence dans mon choix délibéré de ce vendredi matin de de parler de et pour vous et de la lectrice dans le même panier pour pas se gêner; En ce qui concerne L je n'ai pas d'autres nouvelles, mais vous serez bien entendu les premiers informés dès que j'aurais du nouveau sur cette affaire- et pour conclure je ne pourrais que citer Hördelin: "l'homme qui songe est un dieu, l'homme qui pense un mendiant", je ne répète pas cela au hasard, c'est écrit en préambule du livre de D et je pense que L sait pourquoi, pas vous?

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